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Ce n’est pas un compte-rendu au jour le jour de toutes nos sorties mais juste quelques souvenirs de belles sorties. En cliquant sur la photo, vous pouvez parfois accéder à d'autres photos de la même sortie. Vous pouvez aussi trouver des photos d'autres sorties ici.

 Fidèle à une pratique emblématique  de notre club, la Journée TGV a rassemblé 8 cyclos pour un parcours exigeant avec une météo ingrate pour un 22 Juin. 

Mais il en fallait plus pour entamer l'enthousiasme de nos cyclos au départ de la patinoire.

le plaisir d'accueillir une nouvelle recrue en la personne de Gilles, compensait un peu la peine de savoir certains de nos compagnons de route empéchés  par des problèmes familiaux.

Après 90 km de routes tranquilles traversant  des territoires préservés et  quelques ascensions mémorables telle que celle de Cabanac-Séguenville au départ de Garies, le copieux déjeuner à Brax ajoutait une dimension de quasi salut public au volet gastronomique.

20 km supplémentaires furent nécessaires pour regagner Blagnac et réaliser quel plaisir fut offert par la trilogie TGV. A renouveler le plus vite possible!

Nous avons la grande fierté de vous annoncer que nous avons remporté le classement aux points du challenge du Codep 31 FFCT 2023!

Ce classement récompense le club qui a été le plus régulier dans la participation aux sorties labellisées challenge par le codep 31 FFCT.

Nous étions 7, au départ de la patinoire, ayant préférés la sortie locale, le café du Castera l’ayant emporté sur le vin et les huîtres de Gaillac.
Dans les roues de notre guide Alain, ce dernier livra ses secrets, pour notre plus grand plaisir, sous forme de petites routes tranquilles sillonnant la campagne engourdie par les premiers froids. Rapidement les pentes du Castera , aidées par le soleil qui montait dans un ciel parfaitement bleu, réchauffèrent l’atmosphère. Le café apporta sa contribution à la bonne humeur collective
Immanquablement l’aubergiste nous tint compagnie. Il faut bien reconnaître que cela fait désormais partie d’un certain rituel.
Le retour s’effectua par la côte de Montaigut sur Save puis par Aussonne. Arrivé à Blagnac, le groupe se sépara en se donnant rendez vous à vendredi pour l’AG suivie d’un repas qui s’annonce très convivial.

La Toussaint a tenu ses promesses pour ce qui concerne la météo. C’est donc sous un ciel gris et graduellement pluvieux qu’un quatuor de téméraires revêtus de vestes imperméables s’est élancé de la patinoire.
Après avoir échangé sur les dernières nouvelles de la vie du club, le petit comité a pris un cap vers Pujaudran , direction imposée par le vent.
La désormais incontournable et très conviviale pause café à Brax ponctua la randonnée qui atteignit son point de retour à Segoufielle.
Le retour, assez arrosé, se fit par Levignac et après 60km et 375m de dénilevé les valeureux cyclos atteignirent Blagnac et se séparèrent en se donnant rdv pour une autre probable sortie pluvieuse dimanche .

La chaleur du plaisir de se retrouver si nombreux ce matin à la patinoire contrastait avec la fraîcheur de l’automne qui voyait les manches se rallonger.
Le parcours valloné passait rapidement le Castera pour poursuivre vers Sainte Marie du Désert. La solennité des lieux se prêtait alors aux photos souvenir. Et grâce à la solidarité entre cyclos, il a été possible d’y figurer tous.
Le retour sur Blagnac vers 12:30 avec 77 km et 600m de dénivelé au compteur voyait la joyeuse équipe penser déjà à la prochaine sortie et les amateurs de rugby se concentrer sur le match à venir.

C’est un peloton élargi à de nouveaux pratiquants potentiels qui a pris la direction de Pujaudran (il y avait du vent d’autan), point ultime de note parcours dominical.
Le point café à Brax, comme nous en avons désormais l’habitude, a été très apprécié ! Merci au club! 
Deux groupes se sont ensuite formés, les uns allant jusqu’à Pujaudran, les autres se retournant sur un parcours moins exigeant.
Pour ce qui concerne le groupe Pujaudran , apres 72 km et 465m de dénivelé nous fûmes de retour à Blagnac pratiquement pour 12:30 et plein d’enthousiasme pour notre prochaine sortie de mercredi.

Les premiers jours de l’automne nous ont gratifié dans un premier temps de conditions fraîches et ensuite d’une très belle matinée ensoleillée pour visiter nos amis de Castanet-Toulousan.
La joyeuses équipe a ensuite pu se dégourdir les jambes dans les côteaux avoisinants nous permettant de profiter de paysages somptueux (et de nombreuses descentes …).
Merci à Thierry pour nous avoir concocté ce magnifique parcours!

Notre séjour s'est déroulé sous de très bonnes conditions. La météo nous a été favorable avec un soleil radieux toute la semaine.
Notre  hébergement "les pieds dans l'eau"  était très satisfaisant et confortable avec une cuisine variée agréable .
Tous les jours, nous avons effectué une sortie cyclotouriste de 40 kms à 75 kms avec un dénivelé de 300 m à 1300 m. Nous nous sommes bien baladés dans l'arrière pays charmant et bucolique bien guidés par Christiane et Christian.
Le groupe a été enchanté de ce séjour et vous dit : à la prochaine échappée belle. 

Bravant la torpeur estivale ….et la Clio blanche, un quintet de cyclos de Blagnac cyclotourisme a entrepris de gravir les pentes du Castera, méritant ainsi un café en terrasse toujours très apprécié.
Ayant bénéficié des dernières informations du canton de la part de l’aubergiste, toujours enclin a les partager, nous l’avons sollicité pour la photo souvenir (sur la rue pour éviter le parking…) et via la côte du pigeonnier nous avons regagné, heureux et détendus, Blagnac pour midi.
Bonne sieste aux participants et bonnes vacances aux autres

Comme annoncé précédemment, la vidéo a été mise en ligne:en clickant sur la photo ci-contre ou en copiant le lien ci-dessous dans votre logiciel de navigation préféré.

https://www.youtube.com/watch?v=90X2w7ntivE

Grand merci à la mairie de Blagnac et son service des sports!

Aurignac a longtemps été considéré comme la première trace de la présence de l'homme moderne en Europe.
Cette année, Aurignac est-il aussi devenu une des premières traces du cyclo "moderne", celui qui reste au lit dès que la météo est douteuse.
Nous fumes quand même trois à aller braver les intempéries, pour en définitive ne quasiment pas voir de pluie, aller explorer la vallée de la Louge et de jolies routes du Comminges. Les nuages nous ont laissé deviner que, par beau temps, nous aurions eu de très belles vues sur les Pyrénées, ce qui nous incite à revenir l'an prochain, surtout s'il fait beau, pour profiter à nouveau de l'accueil commingeois.

Comme chaque année, l'ASPTT nous a invité à rouler dans une région où il y a peu de clubs et peu de sorties organisées, ce qui nous fait chaque année découvrir des routes nouvelles. Nous avons été neuf à nous retrouver à la base nautique pour rouler ensemble et aller profiter de nouveaux paysages, de belles vues dans les coteaux, avec le lever de bancs de brouillard dans les vallons, et de larges panoramas sur les Pyrénées.

Depuis le début de l'année, nous aurions pu vous raconter quand plusieurs d'entre nous sont allés ensemble retrouver d'autres clubs aux "points café" organisés par Rieumes, Plaisance puis Muret. Nous aurions pu vous parler du brevet de 100km organisé par Rieumes, du circuit proposé par Montastruc où nous avons pu rouler l'après-midi en tenue légère ou du parcours des Caouecs sur lesquel nous sommes allés nous faire plaisir.

Pour une fois, nous décrirons une sortie ordinaire, en partant de Blagnac, choisissant des petites routes tranquilles sans voiture, essayant de profiter du soleil, s'arrêtant, vu la météo, se réchauffer autour d'un café, profitant à la fois du paysage et des copains et discutant de tout et de n'importe quoi (vélo, bricolage,...).
Le vélo autrement !

En passant à Launac, nous avons été arrêtés par un sympathique personnage.
Il nous a expliqué qu'avec le réchauffement climatique, les températures étaient de plus en plus douces à nos latitudes et que, pour le bien-être animal, il se refusait d'y emmener ses rennes. Il voulait donc se renseigner sur nos montures.
Nous lui avons montré qu'on pouvait y attacher un traîneau, expliqué l'usage des vitesses en montée et en descente, conseillé, vu son âge et son poids, de prendre un modèle avec assistance électrique et suggéré de choisir une tenue mieux adaptée à la pratique du vélo.
Trois semaines plus tard, nous avons eu le plaisir de constater la réussite de nos conseils en trouvant nos cadeaux au pied du sapin.

Un pied à terre au pied des cols, ça aide à faire de la montagne et ça motive.
Quatre cyclos ayant dormi sur place ont été rejoints par deux autres le matin même. Départ dans les rues de Luchon, en contournant le marché et en réglant quelques derniers problèmes sur les vélos.
Descente facile quoiqu'un peu fraîche vers Cierp-Gaud où nous avons retrouvé avec plaisir le soleil. Retour vers Saint Béat, alternance de routes et de pistes cyclables pour passer Fos, Lés et remonter sur Bossost où nous avons "attaqué" le col du Portillon, chacun montant à son rythme, certains en discutant, d'autres très concentrés. Trés joli col, revêtement impeccable, belles vues, à chaque lacet, une petite stèle honorant un champion espagnol et un panneautage original : en plus du kilométrage effectué ou restant à faire et de la pente moyenne du kilomètre à venir, une information sur la pente maximum dans ce kilomètre, avec une indication de longueur de la difficulté. Nous avons ainsi franchi du 12,5% sur 42 m et du 17,4% sur 28m !!! (chiffres de mémoire). Dit autrement, il fallait faire attention à sa trajectoire dans les épingles à cheveux pour éviter ses petits raidars, qui passaient avec l'élan. Sinon, pas de grosses pentes et nous sommes bien arrivés au col où nous attendait la guardia civil, pour nous faire quelques photos. Descente sur Luchon raide, souvent à 10% et plus, certains s'y sont bien amusés, d'autres préférant rester prudents. 

A Luchon, nous avons retrouvé un septième cyclo, pas assez en jambes pour cette sortie mais prêt à profiter de la pizzeria.

Les confréries des 100 cols et des cols durs ayant organisé cette année leur rendez-vous annuel au col de Port, quatre mousquetaires y sont allés représenter le club. Le casting avait un peu changé par rapport à l'an dernier, mais l'enthousiasme était là.
Partis de nouveau de Ker/Quercabanac, en compagnie de cyclos de Rieumes, ils ont cette fois remonté la vallée vers Massat, snobé le mur de Péguère pour finir au col où ils ont eu le plaisir de retrouver de nombreuses vielles connaissances. Une inévitable pause à la descente pour admirer le point de vue sur le Valier.
Certains sont ensuite rentrés par le col de Saraillé pour profiter d'autres belles vues. Le tout s'est, comme toujours, terminé autour d'une bonne table, la route ayant bien ouvert l'appétit.

Comme chaque année, nous avons participé au voyage itinérant organisé par le Codep 31 FFCT. Cette année, il se situait en Aveyron. Notre trésorier nous a représenté et a souffert sur les pentes de ce beau département. Comme en juin, l'aligot a bien aidé à récupérer aux étapes. Le parcours passait, entre autre, sous le pont de Milhau... Impressionnant!.  Voyager dans ces contrées avec un vélo, sacoches chargées, puise dans les resssources. L'effort est compensé par les paysages magnifiques traversés. (Photo Jacques Oberlé)

Comme chaque année, nous avons participé au séjour organisé par le Codep 31 situé à Espalion en Aveyron. Le point d'orgue de ces trois jours était le village de Conques. D'autres lieux dont le trou de Bezouls ont été visités sous une chaleur écrasante. La piscine et l'aligot ont permis de recharger les batteries.

Le matin était frisquet (6°) et les restes de pandémie qui découragent les déplacements, semblent avoir empêché les cyclos de venir nous rendre visite. Les braves qui se sont déplacés, n'ont pas été déçus car le temps s'est réchauffé en fin de matinée. Nous remercions la centaine de cyclistes qui nous ont visités et nous donnons rendez-vous à tous pour l'année prochaine espérons le, dans de meilleures conditions.

Entre froid, vent, kilométrage et dénivelé, le 100 km de Rieumes a fait peur à beaucoup mais l'un de nous y est quand même allé.

Suite à diverses défections (cas contact, week-end familial...), nous étions trois à représenter le club à l'ouverture du CoDep à Vernerque. Belle vue sur les Pyrénées depuis les coteaux (il fallait se la gagner), plaisir de retrouver de nombreux cyclos à Venerque... Avec les beaux jours, nous allons être plus nombreux à rouler.

Malgré la pandémie, quelques manifestations ont pu se tenir en ce début d'année. 

Cinq d'entre nous sont retournés à Brioudes où, cette fois-ci, nous étions attendus par le club de Muret. (voir le compte-rendu de l'année dernière)
Nous avons pu voir le château, profiter du froid et du soleil, et surtout d'un accueil très chaleureux. Cette première concentration depuis longtemps avait attiré beaucoup de cyclos.

La première journée avait commencé sous un ciel plutôt gris et promettant quelques gouttes de pluie. Les différentes montées nous ont bien gardés au 'chaud'. L'étape s'est achevée à Sept-Fonds, non sans avoir eu une petite section que nous qualifierons de 'gravel'. Après une nuit un peu fraîche, pour ceux qui dormaient sous des 'tentes', la visite des villages perchés a continué sous un beau soleil. Moissac et son ancien carmel nous ont abrités pour la nuit. La dernière journée, la plus plate, bien qu'ayant commencé par nous éloigner de nos pénates, nous a remmenés lentement vers Blagnac par les berges du canal du Midi.

Après une longue disette, quatre "mousquetaires" se sont élancés pour, enfin, faire un col, en ayant choisi un qu'aucun n'avait encore gravi à vélo. Partis de Quercabanac (Kercabanac pour certains), ils ont remonté le Salat rive gauche en profitant du calme et des beaux paysages. De longs faux plats les ont amenés dans le col de Latrape, puis dans la montée vers Guzet.
Au sommet, ils ont pu admirer le point de vue et ont eu la visite surprise d'un jeune izard. Le régional de l'étape leur a détaillé tout le paysage, les cols déjà grimpés (Core, Crouzette...) et les sommets ariégois (Trois Seigneurs, Vallier...).
Après être descendus puis avoir remonté le col de Latrape, la descente de la vallée depuis Aulus a été faite "à fond", un bon repas les attendant à l'arrivée.

Pour certains, le séjour avait commencé la veille en ralliant Blagnac à Cap Découverte à vélo. Les 3 journées concoctées par le Codep 31 s'annonçaient vallonées et chaudes et elles l'ont été. Le permier jour, nous avons traversé le plâteau du Ségala qui, bien que plat, est découpé par de cassantes vallées. La vue sur le viaduc du Viaur valait ces efforts. 

Le second jour nous a conduits au splendide village de Cordes-sur-Ciel, puis au non moins beau village médiéval de Castelnau-de-Montmiral. Le retour a été effectué par la vallée de la Vère. 

Le troisième jour nous a fait plonger dans la boucle d'Ambialet sous un temps changeant. La descente du Tarn vers St Juéry a été bruineuse. La pluie nous a accompagné dans la dernière ascension sur Cap Découverte.

Cette concentration a la particularité de se dérouler un samedi après-midi et être située de l'autre côté de Toulouse sur les bords du canal du Midi. Le temps quasi caniculaire a 'forcé', ceux partis de Blagnac, à rouler sous les frondaisons accueillantes des bords du canal après un rapide passage par la ville rose. La configuration plane du trajet effectué leur a permis de faire 'tourner les jambes' sans prendre de trop gros coups de soleil. D'autres ont eu le courage d'affronter les côteaux ensolleillés, bravo à eux. 

L'accueil toujours aussi chaleureux des cyclos de Gardouch (merci pour les photos) a fait le reste.

Avant, on commençait l'année avec un brevet de 100 kms, suivi de l'ouverture officielle de la saison marquée par une concentration organisée par le Comité Départemental, puis des randonnées organisées par différents clubs. Les restrictions sanitaires en début d'année ont limité les déplacements et interdit concentrations et randonnées ;seules les concentrations sont permises à l'heure actuelle.

Pour nous rattraper, nous avons tout fait d'un seul coup grâce à la concentration organisée ce dimanche à Carbonne :
- 100 kms (bien plats) pour y aller et en revenir, avec pas mal de ville pas encore éveillée à l'aller et des
routes où nous n'allons guère, un retour un peu plus long pour éviter la ville,
- une concentration qui nous a permis de marquer enfin le (re)démarrage des activités,
- une occasion de revoir les amis de l'ASPTT, organisateurs, et d'autres clubs.
Un retour un peu poussés par le vent a conclu une sortie bien agréable, notre "bilan Carbonne" étant très positif.

En raison de la situation sanitaire, les manifestations inter-clubs sont à nouveau suspendues.
Sinon, comme indiqué sur le programme, il y aurait eu à cette date le traditionnel point-café de Muret, toujours dans un endroit à découvrir. Cette année, cela aurait dû être Brioude, endroit inconnu pour nous. Nous y sommes donc allés, pour voir, et avons commencé par découvrir une succession de pistes cyclables sur plus de 20 kms qui nous a permis de traverser Toulouse et d'aller en toute sécurité jusqu'à Roquettes. Routes tranquilles ensuite pour arriver à Brioude, un espace de loisir en forêt qui justifiait bien le déplacement. Comme nous avions oublié les appareils photos, il ne nous restait qu'à espérer que ce point café soit reconduit l'an prochain, pour y retrouver les Murétains. Le vent dans le dos nous a même facilité une partie du retour.

Pour conclure une année 2020 durant laquelle tous les cyclos ont dû se rallier à notre slogan et pratiquer "le vélo autrement", nous sommes partis nombreux à Lapeyrousse-Fossat où, profitant d'une accalmie de la pandémie, le Comité Départemental et le club de l'Union avaient organisé la concentration de clôture du CoDep.
Retrouvailles en extérieur, gel hydroalcoolique, petite pochette casse-croute pour chacun et distanciation... nous avons découvert le monde de pendant, mais retrouvé quelques amis et un peu de convivialité en attendant le monde d'après.

Comme chaque année, le Codep 31 a organisé un voyage à vélo de 3 jours, cette fois-ci, dans le Tarn. Le principe était de se déplacer à vélo avec sacoches afin de transporter ses effets personnels.
La première journée de Puylaurens - Lacaune s'est effectuée sous un ciel gris et une température plutôt fraiche. Les montées de Lacrouzette et du col de la Bassine dans un environnement granitique nous ont bien réchauffés. Le feu du relais de Fusiès et la charcuterie locale ont permis une bonne récupération.
Lacaune - Réalmont a commencé par une descente d'une bonne vingtaine de kilomètres puis a pris son rythme de petites montagnes russes boisées sous un tendre soleil d'automne. Bien que situé dans un lac, le château de Grandval avait les pieds au sec.
Le retour de Réalmont à Puylaurens a commencé sous des cieux gris et son cocktail de toboggans nous faisant découvrir de charmants villages embrumés jusqu'à Giroussens. La dernière partie, plus calme, s'est effectuée sous un doux soleil.

Le Lot, c'est beau et chaud, les paysages magnifiques et les bosses multiples à la hauteur du reste. Démarrer de Maxou par une descente, ne présage rien de bon pour le retour. Après avoir frôlé Boissières, être passés par Catus, nous sommes arrivés à Gourdon sous un soleil de plomb. Après le repas, le retour s'est effectué par des routes relativement plates en chassant l'ombre, afin de garder quelques forces pour la dernière montée.